Quand MORGAN FREEMAN s'efface et se réincarne en NELSON MENDELA. Une interprétation sidérante et réussie.


Dans la nuit qui m'environne,
Dans les ténèbres qui m'enserrent,
Je loue les Dieux qui me donnent
Une âme, à la fois noble et fière.

Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout bien que blessé.                           

En ce lieu d'opprobres et de pleurs,  
Je ne vois qu'horreur et ombres
Les années s'annoncent sombres
Mais je ne connaîtrais pas la peur.

Aussi étroit soit le chemin,
Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme
Je suis le maître de mon destin,
Le capitaine de mon âme.

(traduction littéraire [Note 1  Traduction qui accentue le caractère religieux du poème, ce qui n'est pas le reflet exact du texte original ) Wikipédia.
La version originale et deux autres traductions littérales sont à lire sur Wikipédia


Invictus est un court poème de l'écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire et qui contribua à le rendre célèbre. Il est notamment repris dans le film Invictus de Clint Eastwood.

Le titre latin signifie « invaincu, dont on ne triomphe pas, invincible »[1] et se fonde sur la propre expérience de l'auteur puisque ce poème fut écrit en 1875 sur son lit d'hôpital, suite à son amputation du pied. A l’origine, ce poème ne possédait pas de titre, celui-ci fut ajouté par Arthur Quiller-Couch en 1900.

wikipedia.org/wiki/Invictus_(poème)

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