LE TROU DU CUL AMBULANT AU FEMININ


J'aime flâner dans cette mini rue piétonne de Grande Anse. De petits restaurants et bars de plage sont alignés d'un côté de celle-ci entremêlés d'habitations et de cabanes de pêcheurs,et de l'autre une petite bande de sable fin où poussent de jeunes cocotiers est parsemée de tables en bois et de parasols recouverts de feuilles de cocotiers, la petite bande de sable fin est frangé de mer bleutée;

Je m'assieds à l' une des tables à quelques mètres du sable, Je ne suis pas la seule flâneuse à admirer le décor, quand soudain en face de moi une femme d'âge mur faisant face à la mer et tournant le dos à la rue enlève son maillot mouillé laissant voir un postérieur flasque et blanc aux rêveurs n'ayant rien demandé. Elle se revêt avec lenteur, se retourne et s'en va.


Les Martiniquais ont raison de penser que si on leur montre un cul, ils peuvent s'en servir. Fin de l'histoire...


Marge                                                          bart19

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